Habituellement, les huiles essentielles demandent un petit rituel : verser quelques gouttes sur un diffuseur qui va être chauffé par une lampe ou un petit brûleur.
Cette innovation de la diffusion à froid par une céramique brevetée est 100% économique et respectueux de l’environnement ; en effet, la céramique est réutilisable à l’infini car ses qualités d’absorption-diffusion sont permanentes ; elle diffusera toujours les huiles de la même manière.
D’un maniement à contrôler pour certaines d’entre elles (comme le romarin à cinéole ou la menthe), les huiles essentielles ont été traditionnellement distribuées par les pharmaciens ; aujourd’hui, si ce produit est banalisé, il nécessite toujours le petit rituel exposé ci-dessus, qui en rebute plus d’un, car, de plus, chauffer les huiles fait se déposer un petite couche de gras sur les meubles environnants...
Les huiles essentielles ont souvent un rôle de purificateur de l’air, en sus de leurs qualités parfumantes. Ces mélanges ont avant tout été concoctés dans le but de diffuser des fragrances agréables, mais les huiles essentielles conservent quand même leurs caractéristiques propres à chacune d’entre elles : ainsi les huiles essentielles de cannelle, d’orange, d’eucalyptus, de lavande ont chacune ce rôle d’aseptisation en sus de leur parfum caractéristique.
Pourquoi un fleuriste doit-il s’intéresser à ce type de diversification ?
Toutes les boutiques sont à la recherche d’idées pour faire venir leurs clients plus souvent et pour conquérir de nouveaux clients : les nouvelles exigences des consommateurs renforcent ce besoin ; le fleuriste n’a-t-il pas tout à gagner à se positionner sur ce créneau ?
Outre l’élément bateau d’être « dans l’air du temps », les motivations marketing sont nombreuses :
- L’huile essentielle est fabriquée exclusivement à base de végétaux, base de travail du fleuriste : ce professionnel est donc crédible aux yeux de son client quand il parle d’un tel produit.